François Tanguy / Théâtre du radeau
Ricercar

DU 26 AU 28 MARS 21H

Théâtre / du jeudi 26 au samedi 28 mars -> 21h00
/ Le Théâtre du radeau, dirigé par François Tanguy, introduit le spectateur dans un univers virtuose de constructions éphémères, une polyphonie verbale et musicale à l’opposé de tout intellectualisme. Comme l’indique le titre inspiré d’une forme musicale proche de la fugue, le Ricercar, la musique est au coeur de cette pièce qui se développe comme un ensemble de points, de contrepoints, de reprises de thèmes, de variations, de dynamismes sonores.

Avec la collaboration de la Communauté de Communes du canton d’Arzacq et l’aide du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques
Le Théâtre du radeau, dirigé par François Tanguy, introduit le spectateur dans un univers virtuose de constructions éphémères, une polyphonie verbale et musicale à l’opposé de tout intellectualisme. Comme l’indique le titre inspiré d’une forme musicale proche de la fugue, le Ricercar, la musique est au coeur de cette pièce qui se développe comme un ensemble de points, de contrepoints, de reprises de thèmes, de variations, de dynamismes sonores. Le plateau est en perpétuelle mouvance, en perpétuel décalage : cadres manipulés par les acteurs, déplacements des points de vue, bric-à-brac d’accessoires savamment organisé, longue perspective de la scène qui attire l’oeil jusqu’à son point de fuite... Les personnages sont des silhouettes, des voix, des fragments de pensées ou de rêves qui traversent un espace poétique composé de cloisons, de portiques, de panneaux tantôt opaques tantôt transparents, révélés par un jaillissement de lumière ou baignés par une douce luminosité en contre-jour. Bribes de scènes jouées sur des tréteaux par deux comédiennes en jupons vaporeux, bouffées de langues européennes, tornades musicales, la pièce provoque un vertige à la lisière de l’éveil et du rêve. « Un hallucinant voyage au coeur d’un labyrinthe de décors sans cesse en mouvement. Une succession de visions jaillissantes comme autant de lambeaux de mémoire [...]. Convoquant aussi bien Villon que Dante, Büchner que Kafka, François Tanguy, en les accouplant à Chostakovitch, Berg, Sibelius ou Verdi, nous transporte dans un ailleurs aussi définitif qu’époustouflant. Du grand art. »PATRICK SOURD, LES INROCKUPTIBLES, 20 NOVEMBRE 2007.


Rencontre avec François Tanguy
Jeudi 26 mars
après la représentation
Arènes du Soubestre - Arzacq

Arènes du Soubestre à Arzacq-Arraziguet
Durée 1H25

Plan d’accès

Départ du bus du Théâtre Saragosse à 20h00

Mise en scène, scénographie, lumières François Tanguy / Elaboration sonore François Tanguy et Marek Havlicek / Avec Frode Bjørnstad, Laurence Chable, Fosco Corliano, Claudie Douet, Katia Grange, Jean Rochereau, Boris Sirdey / Régie générale Johanna Moaligou / François Fauvel / Régie son Marek Havlicek / Régie lumière Julienne Rochereau / Reconstructions Jean Cruchet, Fabienne et Bertrand Killy, François Tanguy et Frode Bjørnstad / Administration Philippe Murcia assisté de Franck Lejuste et Martine Minette / Coproduction Théâtre du Radeau, Le Mans ; TNB , Rennes ; Festival d’Avignon ; Festival d’Automne, Paris ; Théâtre de l’Odéon ; CN Rillieux-la-Pape-Cie Maguy Marin ; Théâtre Garonne,Toulouse / Le Théâtre du Radeau est subventionné par la DRAC Pays de la Loire, la Ville du Mans, le CR des Pays de la L oire et le CG de la Sarthe / Soutien de l’ONDA (accueils en France) et de CulturesFrance (tournées internationales).

Avec la collaboration de la Communauté de Communes du canton d’Arzacq et l’aide du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques
Le Théâtre du radeau, dirigé par François Tanguy, introduit le spectateur dans un univers virtuose de constructions éphémères, une polyphonie verbale et musicale à l’opposé de tout intellectualisme. Comme l’indique le titre inspiré d’une forme musicale proche de la fugue, le Ricercar, la musique est au coeur de cette pièce qui se développe comme un ensemble de points, de contrepoints, de reprises de thèmes, de variations, de dynamismes sonores. Le plateau est en perpétuelle mouvance, en perpétuel décalage : cadres manipulés par les acteurs, déplacements des points de vue, bric-à-brac d’accessoires savamment organisé, longue perspective de la scène qui attire l’oeil jusqu’à son point de fuite... Les personnages sont des silhouettes, des voix, des fragments de pensées ou de rêves qui traversent un espace poétique composé de cloisons, de portiques, de panneaux tantôt opaques tantôt transparents, révélés par un jaillissement de lumière ou baignés par une douce luminosité en contre-jour. Bribes de scènes jouées sur des tréteaux par deux comédiennes en jupons vaporeux, bouffées de langues européennes, tornades musicales, la pièce provoque un vertige à la lisière de l’éveil et du rêve. « Un hallucinant voyage au coeur d’un labyrinthe de décors sans cesse en mouvement. Une succession de visions jaillissantes comme autant de lambeaux de mémoire [...]. Convoquant aussi bien Villon que Dante, Büchner que Kafka, François Tanguy, en les accouplant à Chostakovitch, Berg, Sibelius ou Verdi, nous transporte dans un ailleurs aussi définitif qu’époustouflant. Du grand art. »PATRICK SOURD, LES INROCKUPTIBLES, 20 NOVEMBRE 2007.


Rencontre avec François Tanguy
Jeudi 26 mars
après la représentation
Arènes du Soubestre - Arzacq

DISTRIBUTION

   
ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE