MARCO BERRETTINI - CIE *MELK PROD.
L’OPÉRETTE SANS SOU, SI...

VEN 16 MAI 20H30

Danse / VENDREDI 16 MAI -> 20H30
/ L’opérette sans sou, si... de Marco Berrettini traite avec la légèreté et l’humour qui caractérisent l’opérette des traits de notre société contemporaine. Le chorégraphe y poursuit une réflexion sur le vieillissement de l’interprète et sa difficulté à conserver le haut niveau de technicité requis par les chorégraphes..

L’opérette sans sou, si... de Marco Berrettini traite avec la légèreté et l’humour qui caractérisent l’opérette des traits de notre société contemporaine. Le chorégraphe y poursuit une réflexion sur le vieillissement de l’interprète et sa difficulté à conserver le haut niveau de technicité requis par les chorégraphes, et plus largement par tous les employeurs dans quelque domaine que ce soit. La pièce met au défi les spectateurs de se repérer dans ce zapping en direct et les interprètes de tenir le rythme sans s’essouffler, dans un parfait unisson. Ils doivent se surpasser pour relever ce défi au risque de s’épuiser, de rater ou de déraper. Certaines épreuves chorégraphiques sont inspirées de danses folkloriques et populaires. Valse, french cancan, hip hop, rock’n roll, slow, cha-cha-cha, menuet, samba... sont revisités selon les principes et les codes de l’opérette. Changements de costumes, multiplication des entrées et sorties, les danseurs parlent, chantent, dansent, tourbillonnent. Petite boîte noire découpée dans le plateau, l’espace scénique de la pièce est réduit à un mouchoir de poche dans lequel s’enchaînent des tableaux chorégraphiques. Pièce de groupe avant tout, il n’y a pas de place pour l’individu sur ce plateau aux dimensions restreintes. La technique du collage est ici poussée à l’extrême. Le sens appartient au spectateur qui, au fil des scènes et des associations d’idées, invente sa propre opérette.

Ironique, provocateur, imprévisible, adepte d’une danse pour tous et contre le spectaculairement correct, Marco Berrettini a fait sienne cette maxime de Nietzsche, « Il faut danser la vie ».


Coproduction *Melk Prod., Pôle Sud-SC danse et musique - Strasbourg, Le Parc de La Villette - Paris, CDC de Toulouse - Midi-Pyrénées (accueil studio), l’Arsenic-Centre d’art scénique contemporain - Lausanne / Soutien de l’Adami et de Pro-Helvetia, Fondation Suisse pour la Culture / Coréalisation Maison Daura-résidences internationales d’artistes, Région Midi-Pyrénées. /// La Compagnie *Melk Prod. est subventionnée au titre de l’aide aux compagnies chorégraphiques par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Ile-de-France.

Théâtre Saragosse
Durée 1H15

Ont travaillé ensemble à la réalisation du projet Marco Berrettini, Jean-Paul Bourel, Jérôme Brabant, Carine Charaire, Bruno Faucher, Chiara Gallerani, Jan Kopp, Maguelonne Marre, Gianfranco Poddighe, Anja Röttgerkamp / Création lumière Philippe Bouttier / Régie générale Stéphane Cronenberger / Régie son Samuel Pajand / Costumes, scénographie, textes et danses *Melk Prod

L’opérette sans sou, si... de Marco Berrettini traite avec la légèreté et l’humour qui caractérisent l’opérette des traits de notre société contemporaine. Le chorégraphe y poursuit une réflexion sur le vieillissement de l’interprète et sa difficulté à conserver le haut niveau de technicité requis par les chorégraphes, et plus largement par tous les employeurs dans quelque domaine que ce soit. La pièce met au défi les spectateurs de se repérer dans ce zapping en direct et les interprètes de tenir le rythme sans s’essouffler, dans un parfait unisson. Ils doivent se surpasser pour relever ce défi au risque de s’épuiser, de rater ou de déraper. Certaines épreuves chorégraphiques sont inspirées de danses folkloriques et populaires. Valse, french cancan, hip hop, rock’n roll, slow, cha-cha-cha, menuet, samba... sont revisités selon les principes et les codes de l’opérette. Changements de costumes, multiplication des entrées et sorties, les danseurs parlent, chantent, dansent, tourbillonnent. Petite boîte noire découpée dans le plateau, l’espace scénique de la pièce est réduit à un mouchoir de poche dans lequel s’enchaînent des tableaux chorégraphiques. Pièce de groupe avant tout, il n’y a pas de place pour l’individu sur ce plateau aux dimensions restreintes. La technique du collage est ici poussée à l’extrême. Le sens appartient au spectateur qui, au fil des scènes et des associations d’idées, invente sa propre opérette.

Ironique, provocateur, imprévisible, adepte d’une danse pour tous et contre le spectaculairement correct, Marco Berrettini a fait sienne cette maxime de Nietzsche, « Il faut danser la vie ».


Coproduction *Melk Prod., Pôle Sud-SC danse et musique - Strasbourg, Le Parc de La Villette - Paris, CDC de Toulouse - Midi-Pyrénées (accueil studio), l’Arsenic-Centre d’art scénique contemporain - Lausanne / Soutien de l’Adami et de Pro-Helvetia, Fondation Suisse pour la Culture / Coréalisation Maison Daura-résidences internationales d’artistes, Région Midi-Pyrénées. /// La Compagnie *Melk Prod. est subventionnée au titre de l’aide aux compagnies chorégraphiques par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Ile-de-France.

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SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE