FRANZ KAFKA - THIBAULT DE MONTALEMBERT
LETTRE AU PÈRE

MAR 04 DÉC 20H30

Théâtre / MARDI 04 DÉCEMBRE -> 20H30
/ La Lettre au père de Franz Kafka, mise en scène par Thibault de Montalembert, est un texte limpide à la portée universelle. A trente-six ans, l’auteur adresse à son père une missive tragique et incendiaire. Le comédien Thierry De Peretti interprète ce texte avec justesse et ardeur.

La Lettre au père de Franz Kafka, mise en scène par Thibault de Montalembert, est un texte limpide à la portée universelle. A trente-six ans, après avoir écrit Le Procès, le Château et la Métamorphose, l’auteur adresse à son père une missive tragique et incendiaire qui ne parviendra jamais à son destinataire. Il y reproche à son géniteur son jugement permanent et ses accusations d’échec et de nullité sociale. Cette lettre, terrible de lucidité et subtilement drôle, est un point d’incandescence dans l’oeuvre de Kafka. Le comédien Thierry De Peretti l’interprète avec justesse et ardeur. Petit, vif, le regard clair, le cheveu en bataille, il incarne Kafka, d’abord enfant, en maillot, puis adulte, adoptant le gilet qui symbolise le costume bourgeois. Ses déplacements, régis entièrement par le sens et les impulsions du personnage, sont chorégraphiés par le Japonais Yutaka Takei. Des éléments scéniques simples - table, chaise, craie - rappellent l’enfance et l’école. Quelques traces au mur. Le jeu des douches de lumière et des poursuites qui s’entrecroisent traduisent les angoisses du fils, son impression d’être toujours sous le regard du père, soumis à un jugement qui l’écrase. Le public, d’emblée, est plongé dans l’univers de Kafka : une ambiance inquiétante, pleine des doutes et des peurs de la première jeunesse et des extravagances du monde des adultes.

"Une heure et quinze minutes d’un théâtre où l’engagement physique du comédien et la beauté formelle déployée autour de lui - les sons de Nicolas Baby et les lumières de Jean-Luc Chanonat - éclairent Kafka, sa rage, son humour, sa lucidité, d’un éclat aveuglant." OLIVIER SCHMITT, LE MONDE 2, 10 MARS 2007

Stage théâtre avec Thibault de Montalembert
SAM 02 & DIM 03 FÉV SOUS RÉSERVE


Coproduction Théâtre de la Bastille, ville d’Ajaccio (Direction de la Culture), le Carré Saint Vincent - Scène nationale d’Orléans / Production déléguée Théâtre de la Bastille.

Théâtre Saragosse
Durée 1H15

Texte de Franz Kafka / Traduction François Rey / Mise en scène Thibault de Montalembert / Interprétation Thierry de Peretti / Scénographie Thibault de Montalembert, Jean-Luc Chanonat / Lumière Jean-Luc Chanonat /Création sonore Nicolas Baby / Conseiller chorégraphique Yutaka Takei

La Lettre au père de Franz Kafka, mise en scène par Thibault de Montalembert, est un texte limpide à la portée universelle. A trente-six ans, après avoir écrit Le Procès, le Château et la Métamorphose, l’auteur adresse à son père une missive tragique et incendiaire qui ne parviendra jamais à son destinataire. Il y reproche à son géniteur son jugement permanent et ses accusations d’échec et de nullité sociale. Cette lettre, terrible de lucidité et subtilement drôle, est un point d’incandescence dans l’oeuvre de Kafka. Le comédien Thierry De Peretti l’interprète avec justesse et ardeur. Petit, vif, le regard clair, le cheveu en bataille, il incarne Kafka, d’abord enfant, en maillot, puis adulte, adoptant le gilet qui symbolise le costume bourgeois. Ses déplacements, régis entièrement par le sens et les impulsions du personnage, sont chorégraphiés par le Japonais Yutaka Takei. Des éléments scéniques simples - table, chaise, craie - rappellent l’enfance et l’école. Quelques traces au mur. Le jeu des douches de lumière et des poursuites qui s’entrecroisent traduisent les angoisses du fils, son impression d’être toujours sous le regard du père, soumis à un jugement qui l’écrase. Le public, d’emblée, est plongé dans l’univers de Kafka : une ambiance inquiétante, pleine des doutes et des peurs de la première jeunesse et des extravagances du monde des adultes.

"Une heure et quinze minutes d’un théâtre où l’engagement physique du comédien et la beauté formelle déployée autour de lui - les sons de Nicolas Baby et les lumières de Jean-Luc Chanonat - éclairent Kafka, sa rage, son humour, sa lucidité, d’un éclat aveuglant." OLIVIER SCHMITT, LE MONDE 2, 10 MARS 2007

Stage théâtre avec Thibault de Montalembert
SAM 02 & DIM 03 FÉV SOUS RÉSERVE


Coproduction Théâtre de la Bastille, ville d’Ajaccio (Direction de la Culture), le Carré Saint Vincent - Scène nationale d’Orléans / Production déléguée Théâtre de la Bastille.

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