MICHÈLE ANNE DE MEY (Belgique)
SINFONIA EROICA

MARDI 24 AVRIL

Danse / MARDI 24 AVRIL | 21H
/ Festival Plurielles
La chorégraphe belge Michèle Anne De Mey remonte son oeuvre fondatrice et son plus grand succès, Sinfonia Eroïca. Ce spectacle est un appel à la danse développé sur la 3e Symphonie de Beethoven, « L’Héroique », avec quelques excursions du côté de Mozart et de Jimmy Hendrix.

Festival Plurielles

La chorégraphe belge Michèle Anne De Mey remonte son oeuvre fondatrice et son plus grand succès, Sinfonia Eroïca.

Ce spectacle est un appel à la danse développé sur la 3e Symphonie de Beethoven, « L’Héroique », avec quelques excursions du côté de Mozart et de Jimmy Hendrix. Rien ne définit mieux cette pièce que l’image du coureur de relais passant le témoin à son co-équipier. Mouvement sans fin, jeux de phrases musicales et chorégraphiques reprises de l’un à l’autre, passages, glissements, parallèles qui racontent l’histoire éternelle de l’homme et de la femme, des couples qui se font et se défont. Michèle Anne De Mey saisit le rapport qui s’établit entre le corps des hommes et des femmes dans la danse et cerne les limites de la complicité masculine et féminine. La figure mouvante du héros, sauveteur flamboyant ou solitaire introverti, traverse les scènes de groupe, en écho à la symphonie de Beethoven, omniprésente. Alternance de moments ludiques et graves, du dansé et du non dansé, du mouvement et du recueillement, l’énergie épouse l’émotion et le geste fait corps avec la musique. Le plateau est pour les danseurs comme une aire de jeu. Deux structures métalliques reliées par un cable tendu permet aux interprètes de s’élancer d’un bout à l’autre de la scène. Les plus timides hésitent, les téméraires s’y lancent avec un enthousiasme juvénile. Envol, retenue, provocation, chacun s’empare du plateau pour y dévoiler sa personnalité. Dans la fraîcheur de leur jeunesse, les neuf danseurs se séduisent, se repoussent, s’amusent. L’énergie qui se dégage du groupe en scène, l’élan collectif qui se crée, donnent au spectacle une forme de naïveté et de légèreté proprement magiques.


Une production de Charleroi/Danses, Centre chorégraphique de la Communauté française.

Zénith de Pau
Durée 1H20

Chorégraphie Michèle Anne De Mey Assistants chorégraphiques Gregory Grosjean, Johanna O’Keefe Re-créé et interprété par Stefan Baier, Géraldine Fournier, Ilse Ghekiere, Gabriella Iacono, Mylèna Leclercq, Adrien Le Quinquis, Eléonore Valère, Gabor Varga, Sandy Williams Scénographie Michel Thuns Eclairages Simon Siegmann Costumes Isabelle Lhoas, Frédéric Denis Musiques Mozart, Beethoven, Jimmy Hendrix

Festival Plurielles

La chorégraphe belge Michèle Anne De Mey remonte son oeuvre fondatrice et son plus grand succès, Sinfonia Eroïca.

Ce spectacle est un appel à la danse développé sur la 3e Symphonie de Beethoven, « L’Héroique », avec quelques excursions du côté de Mozart et de Jimmy Hendrix. Rien ne définit mieux cette pièce que l’image du coureur de relais passant le témoin à son co-équipier. Mouvement sans fin, jeux de phrases musicales et chorégraphiques reprises de l’un à l’autre, passages, glissements, parallèles qui racontent l’histoire éternelle de l’homme et de la femme, des couples qui se font et se défont. Michèle Anne De Mey saisit le rapport qui s’établit entre le corps des hommes et des femmes dans la danse et cerne les limites de la complicité masculine et féminine. La figure mouvante du héros, sauveteur flamboyant ou solitaire introverti, traverse les scènes de groupe, en écho à la symphonie de Beethoven, omniprésente. Alternance de moments ludiques et graves, du dansé et du non dansé, du mouvement et du recueillement, l’énergie épouse l’émotion et le geste fait corps avec la musique. Le plateau est pour les danseurs comme une aire de jeu. Deux structures métalliques reliées par un cable tendu permet aux interprètes de s’élancer d’un bout à l’autre de la scène. Les plus timides hésitent, les téméraires s’y lancent avec un enthousiasme juvénile. Envol, retenue, provocation, chacun s’empare du plateau pour y dévoiler sa personnalité. Dans la fraîcheur de leur jeunesse, les neuf danseurs se séduisent, se repoussent, s’amusent. L’énergie qui se dégage du groupe en scène, l’élan collectif qui se crée, donnent au spectacle une forme de naïveté et de légèreté proprement magiques.


Une production de Charleroi/Danses, Centre chorégraphique de la Communauté française.

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