Cie Androphyne
Pas à pas jusqu’aux derniers
Mardi 8 novembre 21h
/ Un spectacle qui mêle la danse, le théâtre et la musique dans un bricolage subtil et plein d’humour. Pas à pas, jusqu’aux derniers nous introduit dans un univers décalé où le public est constamment ballotté entre le spectacle et la réalité, où le chorégraphe prend possession de la scène comme un personnage à part entière et dans lequel la danse s’introduit à la manière d’un gag de cartoon américain.

Un spectacle qui mêle la danse, le théâtre et la musique dans un bricolage subtil et plein d’humour. Pas à pas, jusqu’aux derniers nous introduit dans un univers décalé où le public est constamment ballotté entre le spectacle et la réalité, où le chorégraphe prend possession de la scène comme un personnage à part entière et dans lequel la danse s’introduit à la manière d’un gag de cartoon américain. Egarée dans un univers étrange et dont le souvenir précis lui échappe, une danseuse traverse l’espace, l’explore, tente de recomposer par ses gestes et son parcours les éléments d’une rencontre improbable. Elle s’adresse au public, s’interroge, se laisse entraîner dans la répétition sans fin du même discours et des mêmes mouvements. Il perce dans cette amnésie fantaisiste quelque chose du théâtre de l’absurde, où le minimalisme du texte ouvre sur le vide de l’existence. Prisonnière de son propre labyrinthe, la danse tourne en boucle et finit par dérailler carrément lorsque le chorégraphe fait irruption sur le plateau pour commenter dans un discours pseudo-artistique qui confine au burlesque la chorégraphie qui continue à se dérouler derrière lui.

Le plateau offre au regard un espace nu, délimité par deux parois et un sol en carton. Le matériau utilisé marque le caractère volontiers brut de la scénographie : technicien, musicien et chorégraphe sont à vue, un éclairage au néon baigne la scène, les accessoires, bricolés et approximatifs, revêtent un aspect provisoire... La musique d’Eddy Crampes participe complètement de l’atmosphère déjantée de cette pièce originale.

La compagnie Androphyne, jeune compagnie de la région Aquitaine, poursuit ici son parcours de fidélité avec la scène Espaces Pluriels, puisqu’elle a déjà été accueillie en 2002 pour Le Vivarium et en 2003 pour Il faisait trop beau.


Production Compagnie Androphyne
La compagnie Androphyne est subventionnée par le Conseil Régional d’Aquitaine, le Conseil Général des Landes et le Ministère de la Culture - Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Aquitaine.
Avec le soutien du Cuvier de Feydeau d’Artigues-Près-Bordeaux, de l’OARA, du Théâtre Le Parnasse de Mimizan et de la Commune de Bourdalat (40).

durée : 50 min

Conception et chorégraphie
Pierre-Johann Suc.
Assistante
Magalie Pobel
Interprétation
Carole Bonneau, Pierre-Johann Suc et Eddy Crampes.
Lumière
Harrys Picot
Son
Jean-Michel Noël.
Création musicale
Eddy Crampes.

Un spectacle qui mêle la danse, le théâtre et la musique dans un bricolage subtil et plein d’humour. Pas à pas, jusqu’aux derniers nous introduit dans un univers décalé où le public est constamment ballotté entre le spectacle et la réalité, où le chorégraphe prend possession de la scène comme un personnage à part entière et dans lequel la danse s’introduit à la manière d’un gag de cartoon américain. Egarée dans un univers étrange et dont le souvenir précis lui échappe, une danseuse traverse l’espace, l’explore, tente de recomposer par ses gestes et son parcours les éléments d’une rencontre improbable. Elle s’adresse au public, s’interroge, se laisse entraîner dans la répétition sans fin du même discours et des mêmes mouvements. Il perce dans cette amnésie fantaisiste quelque chose du théâtre de l’absurde, où le minimalisme du texte ouvre sur le vide de l’existence. Prisonnière de son propre labyrinthe, la danse tourne en boucle et finit par dérailler carrément lorsque le chorégraphe fait irruption sur le plateau pour commenter dans un discours pseudo-artistique qui confine au burlesque la chorégraphie qui continue à se dérouler derrière lui.

Le plateau offre au regard un espace nu, délimité par deux parois et un sol en carton. Le matériau utilisé marque le caractère volontiers brut de la scénographie : technicien, musicien et chorégraphe sont à vue, un éclairage au néon baigne la scène, les accessoires, bricolés et approximatifs, revêtent un aspect provisoire... La musique d’Eddy Crampes participe complètement de l’atmosphère déjantée de cette pièce originale.

La compagnie Androphyne, jeune compagnie de la région Aquitaine, poursuit ici son parcours de fidélité avec la scène Espaces Pluriels, puisqu’elle a déjà été accueillie en 2002 pour Le Vivarium et en 2003 pour Il faisait trop beau.


Production Compagnie Androphyne
La compagnie Androphyne est subventionnée par le Conseil Régional d’Aquitaine, le Conseil Général des Landes et le Ministère de la Culture - Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Aquitaine.
Avec le soutien du Cuvier de Feydeau d’Artigues-Près-Bordeaux, de l’OARA, du Théâtre Le Parnasse de Mimizan et de la Commune de Bourdalat (40).

DISTRIBUTION

   
ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE