ROBERTO OLIVAN | CIE ENCLAVE
Belgique - Espagne
DE FARRA

SAMEDI 05 MAI

Danse / SAMEDI 05 MAI | 21H
/ Festival Plurielles
Roberto Olivan sort du théâtre pour convier le public à une fête qui se prolonge sur le plateau en musique et en danse.
« De farra » est un mot du dialecte catalan qui signifie « sortir ». On peut y entendre quelque chose qui se rapproche du mot « fanfare », une célébration, la démonstration de la joie.

Festival Plurielles

Roberto Olivan sort du théâtre pour convier le public à une fête qui se prolonge sur le plateau en musique et en danse.

« De farra » est un mot du dialecte catalan qui signifie « sortir ». On peut y entendre quelque chose qui se rapproche du mot « fanfare », une célébration, la démonstration de la joie. Ici, la fête est dans la rue. Les danseurs et les musiciens débutent le spectacle hors du théâtre pour accompagner les spectateurs dans la salle. Le plateau est occupé par quelques accessoires sommaires, très simples. On entre dans une réalité immédiate, de plain-pied avec les danseurs. La musique de Pierre Bastien et son orchestre « Mécanium » est un élément central du spectacle. Le compositeur a réalisé une sorte de machine musicale, faite de pièces de mécano activées par des moteurs électriques, qui lui permet de jouer en même temps d’instruments divers venus du monde entier : Chine, Java, Maroc ou Occident. La représentation s’accompagne de toutes les formes de danse et de musique, de costumes et de décors propres à la rue : du bal populaire à la break-dance, de l’homme orchestre aux musiciens de rue et aux fanfares. Des univers très divers fusionnent, le cirque et la variété, le carnaval et ses déguisements, la foire et l’art des acrobates et des prestidigitateurs. Les scènes et les danses s’enchaînent dans un désordre organisé, tandis qu’une camionnette bleue sillonne le plateau, entre voiture de cirque et caravane de gitan. Le rythme s’accélère, au fil de la représentation, tandis que les interprètes envahissent littéralement la scène pour transmettre au public une énergie communicative.


Production Het Net Coproduction Concertgebouw Brugge et Mercat de les Flors Avec le support de la SACD - programme 1500 heures à danser

Théâtre Saragosse
Durée 1H30

Chorégraphie et mise en scène Roberto Olivan Musique, composition et interprétation Pierre Bastien Créé et dansé par Valeria Garré, Ben « Fury », Cruz Mata, Martin Kilvady, Laida Aldaz Arrieta, Peter Jasko/Erick Jimenez, Roberto Olivan Costumes Isabelle Lhoas et Frederick Denis Vidéo Muriel Felix Création lumière Thomas Walgrave Dramaturgie Marianne Van Kerkhoven Directeur technique et régie son Eric Faes Régie lumières Manu Martines Régie plateau Zita Gerenday Manager Erik Gobin Avec la collaboration de Bruno Grollet et Nico Manssens (Saxophone et percussions)

Festival Plurielles

Roberto Olivan sort du théâtre pour convier le public à une fête qui se prolonge sur le plateau en musique et en danse.

« De farra » est un mot du dialecte catalan qui signifie « sortir ». On peut y entendre quelque chose qui se rapproche du mot « fanfare », une célébration, la démonstration de la joie. Ici, la fête est dans la rue. Les danseurs et les musiciens débutent le spectacle hors du théâtre pour accompagner les spectateurs dans la salle. Le plateau est occupé par quelques accessoires sommaires, très simples. On entre dans une réalité immédiate, de plain-pied avec les danseurs. La musique de Pierre Bastien et son orchestre « Mécanium » est un élément central du spectacle. Le compositeur a réalisé une sorte de machine musicale, faite de pièces de mécano activées par des moteurs électriques, qui lui permet de jouer en même temps d’instruments divers venus du monde entier : Chine, Java, Maroc ou Occident. La représentation s’accompagne de toutes les formes de danse et de musique, de costumes et de décors propres à la rue : du bal populaire à la break-dance, de l’homme orchestre aux musiciens de rue et aux fanfares. Des univers très divers fusionnent, le cirque et la variété, le carnaval et ses déguisements, la foire et l’art des acrobates et des prestidigitateurs. Les scènes et les danses s’enchaînent dans un désordre organisé, tandis qu’une camionnette bleue sillonne le plateau, entre voiture de cirque et caravane de gitan. Le rythme s’accélère, au fil de la représentation, tandis que les interprètes envahissent littéralement la scène pour transmettre au public une énergie communicative.


Production Het Net Coproduction Concertgebouw Brugge et Mercat de les Flors Avec le support de la SACD - programme 1500 heures à danser

DISTRIBUTION

   
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SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE