Barbara Blanchet et Laurent Falguiéras / cie Pic la Poule
Les décharnés

MER 26 & JEU 27 NOV 20H30

Danse - Musique / mercredi 26 & jeudi 27 novembre -> 20H30
/ Création
Barbara Blanchet et Laurent Falguiéras chorégraphient ensemble le triptyque Les décharnés, inspiré de l’univers de Samuel Beckett. Les deux artistes partagent le plateau avec quatre danseurs et trois musiciens - un batteur, un guitariste et une chanteuse lyrique - qui produisent une musique sensible, déstructurée ou mélodique, jouant sur la distorsion et les résonances, en prise directe sur la matière chorégraphique.

Création
Interprètes chez Jackie Taffanel, Odile Azagury, Claude Magne ou Nathalie Pernette, Barbara Blanchet et Laurent Falguiéras chorégraphient ensemble le triptyque Les décharnés, inspiré de l’univers de Samuel Beckett. Les deux artistes partagent le plateau avec quatre danseurs et trois musiciens - un batteur, un guitariste et une chanteuse lyrique - qui produisent une musique sensible, déstructurée ou mélodique, jouant sur la distorsion et les résonances, en prise directe sur la matière chorégraphique.
Le solo Comme un cri dans les nuages, dansé par Barbara Blanchet, met en scène une femme anonyme et mystérieuse, fragile et aérienne, en quête de son identité. Le public suit son cheminement intérieur, lutte sensuelle et désespérée avec son propre corps, à la recherche de sa féminité et d’une forme d’authenticité.
Dans le duo Peau d’os, en revanche, c’est le corps de l’autre qui permet de tenir debout, de se retenir, de s’accrocher pour ne pas s’effondrer. Deux personnages indistincts, tristes clowns du quotidien, évoluent sur la scène, soudés, à l’image de ces couples beckettiens trop usés pour se séparer : une danse de la fragmentation, de la fracture, du corps qui peu à peu se déglingue. Il en découle une gestuelle désarticulée, toute de relâchements et de déséquilibres, à la fois drôle et tragique.
Enfin, le quintette Trop peu de temps pour dormir, créé à l’issue d’une résidence au Théâtre Saragosse, provoque une plongée dans le vide : cinq corps perdus dans leurs pensées, micro-communauté de somnambules naviguant du rire aux larmes.

Regards croisés - danse
LAURENT FALGUIERAS
MARDI 18 NOVEMBRE A 18h30
ECOLE MUNICIPALE DE DANSE D’ARTIX
ENTREE LIBRE

Théâtre Saragosse
Durée 1H15

Chorégraphie solo Barbara Blanchet avec la complicité de Laurent Falguiéras / Chorégraphie duo Barbara Blanchet et Laurent Falguiéras / Chorégraphie quintette Laurent Falguiéras assisté de Barbara Blanchet / Interprétation Barbara Blanchet, Vincent Curdy, Eric Fessenmeyer, Marc Lacourt, Raphaël Dupin et Laurent Falguiéras / Musiciens Fabrice Barré, Fabrice Favriou, Veronica Onetto / Lumières Stéphane Graillot. La compagnie est subventionnée par le Conseil Régional Poitou-Charentes, le Ministère de la Culture et de la communication, DRAC Poitou-Charentes et la Ville de Poitiers.

Création
Interprètes chez Jackie Taffanel, Odile Azagury, Claude Magne ou Nathalie Pernette, Barbara Blanchet et Laurent Falguiéras chorégraphient ensemble le triptyque Les décharnés, inspiré de l’univers de Samuel Beckett. Les deux artistes partagent le plateau avec quatre danseurs et trois musiciens - un batteur, un guitariste et une chanteuse lyrique - qui produisent une musique sensible, déstructurée ou mélodique, jouant sur la distorsion et les résonances, en prise directe sur la matière chorégraphique.
Le solo Comme un cri dans les nuages, dansé par Barbara Blanchet, met en scène une femme anonyme et mystérieuse, fragile et aérienne, en quête de son identité. Le public suit son cheminement intérieur, lutte sensuelle et désespérée avec son propre corps, à la recherche de sa féminité et d’une forme d’authenticité.
Dans le duo Peau d’os, en revanche, c’est le corps de l’autre qui permet de tenir debout, de se retenir, de s’accrocher pour ne pas s’effondrer. Deux personnages indistincts, tristes clowns du quotidien, évoluent sur la scène, soudés, à l’image de ces couples beckettiens trop usés pour se séparer : une danse de la fragmentation, de la fracture, du corps qui peu à peu se déglingue. Il en découle une gestuelle désarticulée, toute de relâchements et de déséquilibres, à la fois drôle et tragique.
Enfin, le quintette Trop peu de temps pour dormir, créé à l’issue d’une résidence au Théâtre Saragosse, provoque une plongée dans le vide : cinq corps perdus dans leurs pensées, micro-communauté de somnambules naviguant du rire aux larmes.

Regards croisés - danse
LAURENT FALGUIERAS
MARDI 18 NOVEMBRE A 18h30
ECOLE MUNICIPALE DE DANSE D’ARTIX
ENTREE LIBRE

DISTRIBUTION

   
ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE