Sophie Lamarche Damoure / Cie ITRA
I

MAR 12 MAI 20H30

Danse - Musique / mardi 12 mai -> 20H30
/ Création
Sophie Lamarche Damoure s’offre avec I une plongée dans l’enfance aux côtés du danseur Vincent Curdy et du musicien-chanteur Jérôme Lapierre. Les trois artistes retrouvent non sans exaltation cet état premier, libre et instinctif, qui se définit, entre autres, par le jeu et l’expérimentation.

Création
Sophie Lamarche Damoure s’offre avec I une plongée dans l’enfance aux côtés du danseur Vincent Curdy et du musicien-chanteur Jérôme Lapierre. Les trois artistes retrouvent non sans exaltation cet état premier, libre et instinctif, qui se définit, entre autres, par le jeu et l’expérimentation. Guitare, piano, machine et voix accompagnent le parcours des danseurs dans une ambiance musicale entre harmonie et décalage, conduisant une entrée dans le mouvement spontanée et non réfléchie. Pour la chorégraphe, « l’état de corps du bébé jusqu’au petit enfant, sa tonicité musculaire, sa posture, sa manière de se mouvoir, d’appréhender les obstacles, l’autre, l’espace, offrent à qui prend le temps d’observer une panoplie touchante et universelle d’états de corps ». Il ne s’agit pas pour les interprètes de mimer la maladresse ou les balbutiements de l’enfant mais de faire appel aux sensations primordiales pour traverser des états opposés : tristesse, joie, colère, cruauté, confrontation... Les corps des danseurs, souvent en mal d’équilibre, sont soumis à de constantes transformations, traversés par des émotions changeantes qui sont le moteur principal du mouvement. La pièce ouvre sur un espace imaginaire et poétique dans lequel l’enfance résonne comme l’écho amplifié de notre condition d’adulte saisie dans ses contradictions, sa fragilité ou son absurdité.
Peur et tremblements, rire ou excitation alternent dans un univers anachronique et cinématographique qui bouscule par instants l’ordinaire : un théâtre de marionnettes étrange et sensible où la danse advient par le biais du tâtonnement et du déséquilibre ou au contraire de l’affirmation.

Théâtre Saragosse
Durée 0H55

Conception Sophie Lamarche Damoure / Danse Vincent Curdy et Sophie Lamarche Damoure / Musicien chanteur Jérôme Lapierre / Costumes en cours / Lumières Nicolas Girault / Regard extérieur Anne Foucher / Administration Anaïs Brument. La Cie ITRA est soutenue par la DRAC de Basse-Normandie - Ministère de la Culture et de la Communication (aide au projet), la Région de Basse-Normandie, le Département du Calvados, l’O.D.A.C.C / soutien de l’ODIA Normandie pour la diffusion. Elle remercie la Ville de Thury-Harcourt, la Ville de St-Rémy sur Orne pour les prêts de lieux et toutes les personnes qui la soutiennent / Remerciement à la Cie Beau Geste et au Moulin de Louviers.

Création
Sophie Lamarche Damoure s’offre avec I une plongée dans l’enfance aux côtés du danseur Vincent Curdy et du musicien-chanteur Jérôme Lapierre. Les trois artistes retrouvent non sans exaltation cet état premier, libre et instinctif, qui se définit, entre autres, par le jeu et l’expérimentation. Guitare, piano, machine et voix accompagnent le parcours des danseurs dans une ambiance musicale entre harmonie et décalage, conduisant une entrée dans le mouvement spontanée et non réfléchie. Pour la chorégraphe, « l’état de corps du bébé jusqu’au petit enfant, sa tonicité musculaire, sa posture, sa manière de se mouvoir, d’appréhender les obstacles, l’autre, l’espace, offrent à qui prend le temps d’observer une panoplie touchante et universelle d’états de corps ». Il ne s’agit pas pour les interprètes de mimer la maladresse ou les balbutiements de l’enfant mais de faire appel aux sensations primordiales pour traverser des états opposés : tristesse, joie, colère, cruauté, confrontation... Les corps des danseurs, souvent en mal d’équilibre, sont soumis à de constantes transformations, traversés par des émotions changeantes qui sont le moteur principal du mouvement. La pièce ouvre sur un espace imaginaire et poétique dans lequel l’enfance résonne comme l’écho amplifié de notre condition d’adulte saisie dans ses contradictions, sa fragilité ou son absurdité.
Peur et tremblements, rire ou excitation alternent dans un univers anachronique et cinématographique qui bouscule par instants l’ordinaire : un théâtre de marionnettes étrange et sensible où la danse advient par le biais du tâtonnement et du déséquilibre ou au contraire de l’affirmation.

DISTRIBUTION

   
ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE