Vincent Dupont
STÉRÉOSCOPIA
Danse / jeudi 21 mai 19h  / Théâtre Saragosse
45 min / TARIF C / Tout public à partir de 9 ans
Scéances scolaires jeudi 21/05 14h30 + vendredi 22/05 10h & 14h30

Le chorégraphe Vincent Dupont (Air, 28 mars 2014 au Théâtre Saragosse) mène depuis 2001 un travail à la croisée de plusieurs médiums, qui déplace les définitions de l’art chorégraphique. Ses créations redéfinissent la perception du spectateur.

Avec Stéréoscopia, Vincent Dupont crée un spectacle tout public à partir de 9 ans, conçu comme un théâtre de sensations. La pièce est un hommage au peintre florentin Jacopo Chimenti, qui amorce dès le XVIIe siècle un travail sur la vision stéréoscopique. Elle cherche, par le biais d’une mise à l’épreuve de l’espace, à rendre visible le relief. Poursuivant ici son exploration de la perception, Vincent Dupont joue de l’écart et du déséquilibre entre la vue et l’ouïe. Il compose un monde à l’horizontal où la réalité est modifiée par le biais d’un dispositif visuel et sonore subtil et inventif. Un espace tout en longueur dont les sons parviennent au public à travers un casque audio.

Les corps de deux danseuses se rapprochent et s’éloignent, se frôlent, transformant la nature de l’image, de l’unisson au décalage. Musique, bruissements des objets et des corps, métamorphose du geste et beauté de l’image, Stéréoscopia invite au plaisir du sensible et livre le spectateur aux délices de l’étrangeté.

J’Y PENSE SOUVENT (…)
CONCEPTION DU PROJET VINCENT DUPONT
DANSE ARIANE GUITTON, ALINE LANDREAU
MUSIQUE, SON MAXIME FABRE
LUMIÈRE ARNAUD LAVISSE
DÉCOR SYLVAIN GIRAUDEAU, VINCENT DUPONT
TRAVAIL DE LA VOIX VALÉRIE JOLY
COLLABORATION ARTISTIQUE MYRIAM LEBRETON
CRÉDIT PHOTO MARC DOMAGE

Le chorégraphe Vincent Dupont (Air, 28 mars 2014 au Théâtre Saragosse) mène depuis 2001 un travail à la croisée de plusieurs médiums, qui déplace les définitions de l’art chorégraphique. Ses créations redéfinissent la perception du spectateur.

Avec Stéréoscopia, Vincent Dupont crée un spectacle tout public à partir de 9 ans, conçu comme un théâtre de sensations. La pièce est un hommage au peintre florentin Jacopo Chimenti, qui amorce dès le XVIIe siècle un travail sur la vision stéréoscopique. Elle cherche, par le biais d’une mise à l’épreuve de l’espace, à rendre visible le relief. Poursuivant ici son exploration de la perception, Vincent Dupont joue de l’écart et du déséquilibre entre la vue et l’ouïe. Il compose un monde à l’horizontal où la réalité est modifiée par le biais d’un dispositif visuel et sonore subtil et inventif. Un espace tout en longueur dont les sons parviennent au public à travers un casque audio.

Les corps de deux danseuses se rapprochent et s’éloignent, se frôlent, transformant la nature de l’image, de l’unisson au décalage. Musique, bruissements des objets et des corps, métamorphose du geste et beauté de l’image, Stéréoscopia invite au plaisir du sensible et livre le spectateur aux délices de l’étrangeté.

DISTRIBUTION

J’Y PENSE SOUVENT (…)
CONCEPTION DU PROJET VINCENT DUPONT
DANSE ARIANE GUITTON, ALINE LANDREAU
MUSIQUE, SON MAXIME FABRE
LUMIÈRE ARNAUD LAVISSE
DÉCOR SYLVAIN GIRAUDEAU, VINCENT DUPONT
TRAVAIL DE LA VOIX VALÉRIE JOLY
COLLABORATION ARTISTIQUE MYRIAM LEBRETON
CRÉDIT PHOTO MARC DOMAGE

   

Vincent Dupont a une formation de comédien. Ses premières rencontres avec la danse furent avec les chorégraphes Thierry Thieû Niang et Georges Appaix. Puis il participe aux créations de Boris Charmatz : Herses, une lente introduction et Con forts fleuve. D’autres collaborations se feront dans le milieu du cinéma, notamment avec Claire Denis.
En 2001, il signe sa première chorégraphie : Jachères improvisations, inspiré d’une photo d’une installation du plasticien Stan Douglas, questionne le réel en travaillant sur des notions de rapprochement et d’éloignement tant visuelles que sonores. Dès lors, tout en continuant à participer aux travaux d’autres artistes, Vincent Dupont mène un travail à la croisée de plusieurs médiums qui déplace les définitions attendues de l’art chorégraphique. Ses créations se posent comme expériences, questions adressées à la perception du spectateur.
Avec [dikrömatik], Vincent Dupont concentre son travail sur des matériaux qui contournent l’équilibre sensoriel des spectateurs. Il renouvelle ses collaborations avec Yves Godin et Thierry Balasse pour créer une représentation du vertige, d’un trouble immédiat de la perception. En octobre 2005, aux Laboratoires d’Aubervilliers, il crée Hauts Cris (miniature) qui lui permet d’inscrire le corps comme catalyseur de l’espace et du son pour révéler un état intérieur lié au cri.
Incantus, créé en novembre 2007 au CNDC d’Angers, travaille à une matière incantatoire qui appelle les danseurs à affirmer leurs présences et libérer le mouvement. Un appel collectif vers le plateau pour définir les enjeux de l’acte chorégraphique et lui permettre de trouver ses zones de force, ses points d’appui.
La SACD a attribué à Vincent Dupont, le Prix "nouveau talent chorégraphie" pour l’année 2007.
Du désir de mettre en jeu d’une autre manière qu’au théâtre la perception des corps, il crée, au printemps 2009, Plongée, un film chorégraphique. En faisant appel à des espaces naturels ou inventés, il filme une autre présence des corps dans une chorégraphie de l’image. Souffles, créé en juin 2010 au Phénix scène nationale de Valenciennes dans le cadre du festival Latitudes Contemporaines, tente de révéler une image de la mort en mouvement dans une catharsis du plateau. Avec Bine, installation performance réalisée au printemps 2011, Vincent Dupont confronte le mouvement à l’univers poétique de Charles Pennequin.
L’étang suspendu, créé en août 2012 pour le festival Entre cour et jardins, approche certaines visions qui nous constituent dans un rapport organique à la nature.
En 2013, Vincent Dupont crée à Nîmes la pièce Air. Inspirée par un film de Jean Rouch, Air cherche sa propre transe dans un flux et reflux traversant le public et fait le pari que de cette énergie collective naisse un mouvement unique.

ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE