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INANNA
CAROLYN CARLSON

SAM 19 JANV 20H30

Danse / SAMEDI 19 JANVIER -> 20H30
/ Couronnée de succès pour sa première création au Centre Chorégraphique de Roubaix, Carolyn Carlson reprend Inanna, pièce sublime et chatoyante pour sept danseuses. Composée en hommage à la photographe Francesca Woodman, la pièce joue d’ambiances et de décors somptueux pour décliner l’image de la femme dans sa diversité.

Couronnée de succès pour sa première création au Centre Chorégraphique de Roubaix, Carolyn Carlson reprend Inanna, pièce sublime et chatoyante pour sept danseuses. Composée en hommage à la photographe Francesca Woodman, à la carrière fulgurante et trop brève, la pièce joue d’ambiances et de décors somptueux et mélancoliques, teintés de romantisme, pour décliner l’image de la femme dans sa diversité. Tour à tour guerrière, amante, mère, séductrice, la femme moderne se décline à l’infini, en résonance avec Inanna, déesse aux multiples facettes du panthéon sumérien. Pure et libre, fatale et enjouée, maladroite et artificielle, nue et masquée, elle s’assume et subjugue. La danse dévoile sa force instinctive et sonde son pouvoir mystérieux. Carolyn Carlson réussit une combinaison inventive de styles aux variations fascinantes. Exploration de l’univers féminin, Inanna enrichit la pureté gestuelle chère à la chorégraphe de tableaux inattendus. Ces sept danseuses dégagent une puissance d’expression saisissante, chacune détentrice à la fois d’un charme unique et de l’harmonie transmise par Carolyn Carlson. C’est une ode à l’incarnation de l’être féminin.

« Inanna mêle l’archaïsme des mythes aux stéréotypes de la femme moderne, charge à la danse d’en dévoiler la part de vérité ou de les éclairer d’un jour nouveau. [...] La pièce s’est appuyée sur une scénographie rigoureuse et inventive, ainsi que sur l’étonnante puissance expressive des danseuses. Lyriques et enflammées, elles ont donné au geste une dimension pure et poétique et au spectacle un souffle puissant et mystique. Au final, un mot : flamboyant. » L’INDÉPENDANT DU PAS DE CALAIS, 27 OCTOBRE 2006


Coproduction Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas de Calais / Atelier de Paris-Carolyn Carlson

Zénith de Pau
Durée 1H20

Création novembre 2005 Roubaix / Hommage à Francesca Woodman / Chorégraphie Carolyn Carlson / Interprètes Chinatsu Kosakatani, Isida Micani, Sara Orselli, Sonia Rocha, Cristina Santucci, Sara Simeoni et Alessandra Vigna / Musique originale Armand Amar / Création lumière Rémi Nicolas / Scénographie Euan Burnet-Smith / Masques Monique Luyton / Création costumes Emmanuelle Piat

Couronnée de succès pour sa première création au Centre Chorégraphique de Roubaix, Carolyn Carlson reprend Inanna, pièce sublime et chatoyante pour sept danseuses. Composée en hommage à la photographe Francesca Woodman, à la carrière fulgurante et trop brève, la pièce joue d’ambiances et de décors somptueux et mélancoliques, teintés de romantisme, pour décliner l’image de la femme dans sa diversité. Tour à tour guerrière, amante, mère, séductrice, la femme moderne se décline à l’infini, en résonance avec Inanna, déesse aux multiples facettes du panthéon sumérien. Pure et libre, fatale et enjouée, maladroite et artificielle, nue et masquée, elle s’assume et subjugue. La danse dévoile sa force instinctive et sonde son pouvoir mystérieux. Carolyn Carlson réussit une combinaison inventive de styles aux variations fascinantes. Exploration de l’univers féminin, Inanna enrichit la pureté gestuelle chère à la chorégraphe de tableaux inattendus. Ces sept danseuses dégagent une puissance d’expression saisissante, chacune détentrice à la fois d’un charme unique et de l’harmonie transmise par Carolyn Carlson. C’est une ode à l’incarnation de l’être féminin.

« Inanna mêle l’archaïsme des mythes aux stéréotypes de la femme moderne, charge à la danse d’en dévoiler la part de vérité ou de les éclairer d’un jour nouveau. [...] La pièce s’est appuyée sur une scénographie rigoureuse et inventive, ainsi que sur l’étonnante puissance expressive des danseuses. Lyriques et enflammées, elles ont donné au geste une dimension pure et poétique et au spectacle un souffle puissant et mystique. Au final, un mot : flamboyant. » L’INDÉPENDANT DU PAS DE CALAIS, 27 OCTOBRE 2006


Coproduction Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas de Calais / Atelier de Paris-Carolyn Carlson

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SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE