A voir en famille
Danseuse classique de formation, Andrea Sitter a trouvé dans la danse contemporaine
l’espace de liberté qui convient à sa personnalité d’artiste multiple,
imaginative et doucement provocatrice. Elle évolue dans un univers romantique
et loufoque, empreint tout à la fois de féminité, de sérieux, d’enfantillage et de
raillerie. Chronique poétique et délirante d’une femme solitaire, La reine s’ennuie
met en scène la blonde Andrea dans une série de métamorphoses qui la révèlent
tour à tour danseuse, comédienne, poète et humoriste. La reine s’ennuie, dressée
sur ses talons aiguilles, répandant sur le plateau des pétales de rose tandis
que le crapaud couronné posé dans un coin de la scène tarde à se changer en
prince. Elle effeuille mythes, contes et légendes, convoquant tour à tour les travaux
d’Hercule qu’elle récite avec une énergie fiévreuse, la Flûte enchantée de
Mozart, dont elle interprète tête en bas l’air célèbre de la Reine de la nuit ; mais,
surtout, elle danse, avec grâce et élégance d’abord, dans une fusion détonante de
gestuelle classique et de rock’n roll ensuite, portée par une énergie explosive. Les
scènes se succèdent comme une variation sur le thème de l’ennui et des moyens d’y
échapper par l’imagination et la fantaisie : yoddel, leçon d’architecture virtuelle,
marche militaire ou dégustation de café...
« Emotion, beauté, humour sont distillés dans une danse où
la rigueur classique se plie au langage contemporain. On est
médusé comme un petit enfant devant un conte. Du grand art.
Une reine [on] vous dit. » BERNADETTE BONIS, DANSER, JUILLET 2004.
Théâtre Saragosse
Durée 0H55
Chorégraphie et interprétation Andrea Sitter / Collaboration artistique et interventions Philippe-Ahmed Braschi / Lumières Frédéric Mérat / Composition musicale Louis Naon / Régie Nicolas Prosper / La compagnie Die Donau est soutenue par SEST.
A voir en famille
Danseuse classique de formation, Andrea Sitter a trouvé dans la danse contemporaine
l’espace de liberté qui convient à sa personnalité d’artiste multiple,
imaginative et doucement provocatrice. Elle évolue dans un univers romantique
et loufoque, empreint tout à la fois de féminité, de sérieux, d’enfantillage et de
raillerie. Chronique poétique et délirante d’une femme solitaire, La reine s’ennuie
met en scène la blonde Andrea dans une série de métamorphoses qui la révèlent
tour à tour danseuse, comédienne, poète et humoriste. La reine s’ennuie, dressée
sur ses talons aiguilles, répandant sur le plateau des pétales de rose tandis
que le crapaud couronné posé dans un coin de la scène tarde à se changer en
prince. Elle effeuille mythes, contes et légendes, convoquant tour à tour les travaux
d’Hercule qu’elle récite avec une énergie fiévreuse, la Flûte enchantée de
Mozart, dont elle interprète tête en bas l’air célèbre de la Reine de la nuit ; mais,
surtout, elle danse, avec grâce et élégance d’abord, dans une fusion détonante de
gestuelle classique et de rock’n roll ensuite, portée par une énergie explosive. Les
scènes se succèdent comme une variation sur le thème de l’ennui et des moyens d’y
échapper par l’imagination et la fantaisie : yoddel, leçon d’architecture virtuelle,
marche militaire ou dégustation de café...
« Emotion, beauté, humour sont distillés dans une danse où
la rigueur classique se plie au langage contemporain. On est
médusé comme un petit enfant devant un conte. Du grand art.
Une reine [on] vous dit. » BERNADETTE BONIS, DANSER, JUILLET 2004.