Dominique Chevaucher s’entoure de trois comédiens, d’un musicien et d’un slameur. Petits soucis du quotidien, brefs moments de lâcheté, phrases toutes faites : avec un humour teinté de dérision, les artistes jettent un éclairage sans concession sur une société propice à l’émergence de la bêtise et de la violence.
Dominique Chevaucher, comédienne, metteur en scène et chanteuse, jette un regard sans concession sur une société qu’elle juge propice à l’émergence de la bêtise et de la violence. Il n’y a qu’à regarder la télévision, lire la presse ou simplement observer le monde autour de soi pour constater l’omniprésence de la peur. Derrière chaque scène de Petits soucis et grande misère se terre cette peur : peur de la perte, peur de l’autre, de l’étranger, de l’avenir. Dans un tourbillon qui provoque les rencontres de personnages ordinaires dans des situations banales, la pièce croise des textes de Sylvain Levey, Jean-Philippe Ibos et Jean-Claude Grumberg, auteurs contemporains dont les écritures façonnent un univers à la fois tragique, drôle et décalé.
Petits soucis du quotidien, brefs moments de lâcheté, phrases toutes faites résident au fond de la grande misère du dénuement, de la solitude et du prêt à penser. C’est dans ce climat que naissent les petites méchancetés, une violence tant psychologique que physique mais d’autant plus troublante qu’elle passe souvent inaperçue. Dominique Chevaucher s’entoure de trois comédiens, d’un musicien et d’un slameur pour rompre un silence qu’elle considère comme une dangereuse hypocrisie.
Tarif C
Théâtre Saragosse
Durée 1H20
Dominique Chevaucher, comédienne, metteur en scène et chanteuse, jette un regard sans concession sur une société qu’elle juge propice à l’émergence de la bêtise et de la violence. Il n’y a qu’à regarder la télévision, lire la presse ou simplement observer le monde autour de soi pour constater l’omniprésence de la peur. Derrière chaque scène de Petits soucis et grande misère se terre cette peur : peur de la perte, peur de l’autre, de l’étranger, de l’avenir. Dans un tourbillon qui provoque les rencontres de personnages ordinaires dans des situations banales, la pièce croise des textes de Sylvain Levey, Jean-Philippe Ibos et Jean-Claude Grumberg, auteurs contemporains dont les écritures façonnent un univers à la fois tragique, drôle et décalé.
Petits soucis du quotidien, brefs moments de lâcheté, phrases toutes faites résident au fond de la grande misère du dénuement, de la solitude et du prêt à penser. C’est dans ce climat que naissent les petites méchancetés, une violence tant psychologique que physique mais d’autant plus troublante qu’elle passe souvent inaperçue. Dominique Chevaucher s’entoure de trois comédiens, d’un musicien et d’un slameur pour rompre un silence qu’elle considère comme une dangereuse hypocrisie.
Textes de Sylvain Levey, Jean-Philippe Ibos et Jean Claude Grumberg (Les Rouquins) / Mise en scène et conception Dominique Chevaucher en collaboration avec l’équipe / Avec Bénédicte Lafond (interprète), François Patissier (interprète), Philippe Le Goff (musicien électro-acoustique, interprète), Jérôme Pinel (slameur et interprète), Dominique Prunier (création lumières et interprète), Dominique Chevaucher (chant, interprète) / Scénographie Emmanuelle Sage-Lenoir / Avec le regard complice de Victoria Debarbieux et l’écoute précieuse de Camel Zekri