Clôture de saison
En collaboration avec la MJC des Fleurs
Anthony Egéa développe, depuis la création de la compagnie Rêvolution en 1991,
une gestuelle hybride à la croisée du ballet classique et du hip hop, mélange
inattendu qui fusionne avec bonheur la pureté des lignes, l’amplitude du mouvement
et la virtuosité. La pièce Urban ballet, dansée par une troupe de dix jeunes
interprètes, décline quatre incarnations possibles du corps. Corps sensuel défilant
au ralenti sur le Stabat mater de Vivaldi, corps sculptural et collectif rythmé
par le Boléro de Ravel, corps-insecte baigné par les sonorités envoûtantes de
Yannis Xenakis, libération progressive des corps qui glissent de l’urbain vers l’aérien
sur une composition orchestrale de Franck II Louise. La quatrième partie,
plus franchement urbaine, permet à chaque danseur d’affirmer sa personnalité
et de démontrer ses capacités techniques dans un enchaînement de prouesses,
d’équilibres, de portés spectaculaires. Solo, trio, ballets en synchronie parfaite
ou décomposés en sous-ensembles qui se répondent, Anthony Egéa travaille la
chorégraphie comme un plasticien, modelant les postures et les matières, distribuant
l’espace en perspectives dynamiques ou en blocs compacts pour faire
émerger un danseur isolé ou un couple qui se rencontre.
En première partie, le plateau du Zénith accueille la dernière création de la troupe
N’Fluence de la M JC des Fleurs, qui travaille depuis quinze ans au développement
de la danse hip hop sur Pau et programme le Festival Urban Session.
Anthony Egéa confronte la virtuosité à l’infime, le démonstratif
à l’expressif dans une forme élégante et épurée à l’écart
des conventions et des attendus.
Production Virginie Petit, Améla Alihodzic / Création 2008 / Soutien de la DRAC Aquitaine, du CR Aquitaine, du CG de la Gironde et de la ville de Bordeaux / Coproductions Théâtre Olympia - SC d’Arcachon ; Dieppe Scène Nationale ; CND Pantin ; Théâtre Jean Vilar, Suresnes ; la Caisse des Dépôts et Consignations ; le Théâtre de Corbeil Essonnes ; l’OARA ; le CN - Ballet de Biarritz ; la SN Bayonne - Sud-Aquitain ; le Théâtre Le Parnasse, Mimizan ; l’Opéra national de Bordeaux ; L’Odyssée - SC de Périgueux / Avec le soutien de la Fondation Beaumarchais (aide à l’écriture) ; du Théâtre de Bressuire ; du Casino de Bordeaux ; du Cuvier, Artigues près Bordeaux ; du Printemps de la danse ; Mad Production, Angoulême ; du Glob Théâtre, Bordeaux ; TNT , Bordeaux ; TnBA , Bordeaux ; Cefedem, Bordeaux.
Zénith de Pau
Durée totale 1h30
Direction artistique et chorégraphique Anthony Égéa / Lumière et scénographie Florent Blanchon / Maître de Ballet Martial Bockstaele / Assistante chorégraphique Célia Thomas / Costumes Françoise Castaing / Régie son Jules Berbessou / Régie plateau Julien Compagnon / Régie lumière Yvan Labasse
Clôture de saison
En collaboration avec la MJC des Fleurs
Anthony Egéa développe, depuis la création de la compagnie Rêvolution en 1991,
une gestuelle hybride à la croisée du ballet classique et du hip hop, mélange
inattendu qui fusionne avec bonheur la pureté des lignes, l’amplitude du mouvement
et la virtuosité. La pièce Urban ballet, dansée par une troupe de dix jeunes
interprètes, décline quatre incarnations possibles du corps. Corps sensuel défilant
au ralenti sur le Stabat mater de Vivaldi, corps sculptural et collectif rythmé
par le Boléro de Ravel, corps-insecte baigné par les sonorités envoûtantes de
Yannis Xenakis, libération progressive des corps qui glissent de l’urbain vers l’aérien
sur une composition orchestrale de Franck II Louise. La quatrième partie,
plus franchement urbaine, permet à chaque danseur d’affirmer sa personnalité
et de démontrer ses capacités techniques dans un enchaînement de prouesses,
d’équilibres, de portés spectaculaires. Solo, trio, ballets en synchronie parfaite
ou décomposés en sous-ensembles qui se répondent, Anthony Egéa travaille la
chorégraphie comme un plasticien, modelant les postures et les matières, distribuant
l’espace en perspectives dynamiques ou en blocs compacts pour faire
émerger un danseur isolé ou un couple qui se rencontre.
En première partie, le plateau du Zénith accueille la dernière création de la troupe
N’Fluence de la M JC des Fleurs, qui travaille depuis quinze ans au développement
de la danse hip hop sur Pau et programme le Festival Urban Session.
Anthony Egéa confronte la virtuosité à l’infime, le démonstratif
à l’expressif dans une forme élégante et épurée à l’écart
des conventions et des attendus.
Production Virginie Petit, Améla Alihodzic / Création 2008 / Soutien de la DRAC Aquitaine, du CR Aquitaine, du CG de la Gironde et de la ville de Bordeaux / Coproductions Théâtre Olympia - SC d’Arcachon ; Dieppe Scène Nationale ; CND Pantin ; Théâtre Jean Vilar, Suresnes ; la Caisse des Dépôts et Consignations ; le Théâtre de Corbeil Essonnes ; l’OARA ; le CN - Ballet de Biarritz ; la SN Bayonne - Sud-Aquitain ; le Théâtre Le Parnasse, Mimizan ; l’Opéra national de Bordeaux ; L’Odyssée - SC de Périgueux / Avec le soutien de la Fondation Beaumarchais (aide à l’écriture) ; du Théâtre de Bressuire ; du Casino de Bordeaux ; du Cuvier, Artigues près Bordeaux ; du Printemps de la danse ; Mad Production, Angoulême ; du Glob Théâtre, Bordeaux ; TNT , Bordeaux ; TnBA , Bordeaux ; Cefedem, Bordeaux.