jeu 14 janv 20H30
En partenariat avec accès(s)
La curiosité est un moteur puissant pour Annabelle Bonnéry et François Deneulin. Leur volonté de rencontres les pousse à travailler au sein de la compagnie Lanabel à des projets qui dépassent les frontières de la danse, pour mieux y revenir, enrichis d’autres univers, d’autres préoccupations. C’est le monde de la recherche et de la science qui est au coeur du solo Virus/Antivirus, qu’Annabelle Bonnéry a choisi de danser elle-même. Ce solo n’est pas pour autant l’oeuvre d’une seule personne, il a réuni des chercheurs du CEA de Grenoble et des artistes autour de la question du corps, de l’image à la matière. Deux parties, Virus et Antivirus, comme deux faces d’une même pièce, explorent un langage du corps spécifique. La danse-performance sollicite la musique qui se construit en direct, rendant indissociable l’individu de ce qu’il reçoit de son environnement. Dans Virus, la danseuse interprète le monde, se transforme en sons, se démultiplie. Antivirus est le négatif de la première partie, reprenant la même chorégraphie mais sans l’artifice des capteurs, de la musique et de la vidéo. La présence imposante, presque sacrée, du corps seul nous laisse percevoir le nouveau son du mouvement.
Tarif C
Théâtre Saragosse
Durée 0h45
Chorégraphie Annabelle Bonnéry Scénographie, assistant à la dramaturgie François Deneulin Interprétation Annabelle Bonnéry Lutherie électronique, recherche scientifique et technologique Dominique David Lumière Elodie Llinarès Composition musicale Vitor Joaquim Costume Kathy Brunner
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La curiosité est un moteur puissant pour Annabelle Bonnéry et François Deneulin. Leur volonté de rencontres les pousse à travailler au sein de la compagnie Lanabel à des projets qui dépassent les frontières de la danse, pour mieux y revenir, enrichis d’autres univers, d’autres préoccupations. C’est le monde de la recherche et de la science qui est au coeur du solo Virus/Antivirus, qu’Annabelle Bonnéry a choisi de danser elle-même. Ce solo n’est pas pour autant l’oeuvre d’une seule personne, il a réuni des chercheurs du CEA de Grenoble et des artistes autour de la question du corps, de l’image à la matière. Deux parties, Virus et Antivirus, comme deux faces d’une même pièce, explorent un langage du corps spécifique. La danse-performance sollicite la musique qui se construit en direct, rendant indissociable l’individu de ce qu’il reçoit de son environnement. Dans Virus, la danseuse interprète le monde, se transforme en sons, se démultiplie. Antivirus est le négatif de la première partie, reprenant la même chorégraphie mais sans l’artifice des capteurs, de la musique et de la vidéo. La présence imposante, presque sacrée, du corps seul nous laisse percevoir le nouveau son du mouvement.