Le Marteau et la Faucille
Théâtre / JEUDI 03 & VENDREDI 04 OCTOBRE 20H30  / Théâtre Saragosse
1H00 / TARIF B

Après Michel Houellebecq et Roberto Bolaño, le metteur en scène Julien Gosselin poursuit son exploration scénique de la littérature d’aujourd’hui et de la violence de nos sociétés à travers une nouvelle de l’Américain Don DeLillo. Ses spectacles s’offrent comme une expérience sensible, un champ magnétique où la violence, les mots et les images s’aimantent et se repoussent. D’abord intégré au spectacle Joueurs, Mao II, Les Noms, créé au Festival d’Avignon en 2018 et magnifiquement interprété par le comédien Joseph Drouet, Le Marteau et la Faucille est ici présenté seul, dans son immense simplicité. La mise en scène laisse toute la place aux mots de Don DeLillo, à cette vision monumentale du vide contemporain. « Le Marteau et la Faucille raconte l’histoire d’un homme, Jerold Bradway, dont nous comprenons qu’il a été trader dans une autre vie et qu’il vit aujourd’hui dans une prison, un camp aux contours flous, surplombant l’autoroute, passant d’une salle TV au terrain de football des détenus, tous comme lui puissants financiers ayant fait fortune dans les hedge funds ou marchands d’arts ayant détourné des milliards de dollars. [...] Écrit en réaction à la crise économique mondiale de 2008, le texte est bien plus qu’une condamnation des excès du capitalisme financier. Il est une réflexion sur la possession et la perte, sur la fragilité des hommes, sur leurs rêves de liens, sur l’absence d’espoir. »
Julien Gosselin

Texte Don DeLillo / Traduction Marianne Véron / Adaptation et mise en scène Julien Gosselin / Avec Joseph Drouet / Scénographie Hubert Colas / Assisté de Andréa Baglione / Création musicale Guillaume Bachelé, Maxence Vandevelde / Création lumières Nicolas Joubert / Création vidéo Pierre Martin / Création sonore Julien Feryn / Costumes Caroline Tavernier / Administration - production - diffusion Eugénie Tesson / Organisation tournée - communication Emmanuel Mourmant / Administration Paul Lacour-Lebouvier / Direction technique Nicolas Ahssaine / Directeur technique adjoint Vianney Brunin / CRÉDITS PHOTOS SIMON GOSSELIN
PRODUCTION

L’adaptation du Marteau et la Faucille est représentée dans les pays de langue française par Dominique Christophe - l’Agence, Paris en accord avec Abrams Artists & The Wallace Literary Agency, New York / Textes publiés aux Editions Actes Sud / Production Si vous pouviez lécher mon coeur / Production déléguée Le Printemps des Comédiens / Coproduction Printemps des comédiens Montpellier - Maison de la Culture de Bourges, CCAM Vandoeuvrelès- Nancy, Romaeuropa (coproduction en cours) / Si vous pouviez lécher mon coeur est soutenu par le MCC/Drac Hauts-de-France (compagnie à rayonnement national et international) conventionné par la Région Hauts-de-France et par la Ville de Calais. La compagnie bénéficie du soutien de l’Institut français pour ses tournées à l’étranger. Création au Printemps des comédiens, Montpellier, mai 2019

Après Michel Houellebecq et Roberto Bolaño, le metteur en scène Julien Gosselin poursuit son exploration scénique de la littérature d’aujourd’hui et de la violence de nos sociétés à travers une nouvelle de l’Américain Don DeLillo. Ses spectacles s’offrent comme une expérience sensible, un champ magnétique où la violence, les mots et les images s’aimantent et se repoussent. D’abord intégré au spectacle Joueurs, Mao II, Les Noms, créé au Festival d’Avignon en 2018 et magnifiquement interprété par le comédien Joseph Drouet, Le Marteau et la Faucille est ici présenté seul, dans son immense simplicité. La mise en scène laisse toute la place aux mots de Don DeLillo, à cette vision monumentale du vide contemporain. « Le Marteau et la Faucille raconte l’histoire d’un homme, Jerold Bradway, dont nous comprenons qu’il a été trader dans une autre vie et qu’il vit aujourd’hui dans une prison, un camp aux contours flous, surplombant l’autoroute, passant d’une salle TV au terrain de football des détenus, tous comme lui puissants financiers ayant fait fortune dans les hedge funds ou marchands d’arts ayant détourné des milliards de dollars. [...] Écrit en réaction à la crise économique mondiale de 2008, le texte est bien plus qu’une condamnation des excès du capitalisme financier. Il est une réflexion sur la possession et la perte, sur la fragilité des hommes, sur leurs rêves de liens, sur l’absence d’espoir. »
Julien Gosselin

DISTRIBUTION

Texte Don DeLillo / Traduction Marianne Véron / Adaptation et mise en scène Julien Gosselin / Avec Joseph Drouet / Scénographie Hubert Colas / Assisté de Andréa Baglione / Création musicale Guillaume Bachelé, Maxence Vandevelde / Création lumières Nicolas Joubert / Création vidéo Pierre Martin / Création sonore Julien Feryn / Costumes Caroline Tavernier / Administration - production - diffusion Eugénie Tesson / Organisation tournée - communication Emmanuel Mourmant / Administration Paul Lacour-Lebouvier / Direction technique Nicolas Ahssaine / Directeur technique adjoint Vianney Brunin / CRÉDITS PHOTOS SIMON GOSSELIN

   
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