LES SOUVENIRS DE SAM JACKSON MCBRYB
IF YOU KNEW
IF TO LEAVE IS TO REMEMBER
Carolyn Carlson, directrice du Centre Chorégraphique National de Roubaix, a réuni pour ce projet deux chorégraphes qui lui sont chères : Malou Airaudo, complice pendant des années de Pina Bausch, et Caterina Sagna, créatrice au regard sensible et plein d’humour sur la nature humaine. Ensemble, elles créent un programme sur le thème de la mémoire, avec huit danseurs de la Compagnie du ccn de Roubaix.
Dans Les souvenirs de Sam Jackson McBryb de Caterina Sagna, le passé n’existe pas, il est inclus dans le présent. Certains souvenirs, impossibles à oublier, font irruption dans le présent et s’expriment à travers les corps. Le rire se mêle alors à l’absurde, à la mélancolie et à la tendresse.
Les notes de If you knew de Nina Simone donnent un ton nostalgique à la pièce éponyme de Malou Airaudo. Des images et des personnages saisissants, troublants, affleurent à la mémoire. Ils évoluent seuls, se rencontrent, s’éloignent, en quête d’une part perdue d’eux-mêmes.
Carolyn Carlson reprend If to leave is to remember, créé en 2006 au Ballettheater de Munich. Elle évoque la mémoire de la séparation, sa douleur mais aussi son effet bénéfique. Quitter un ami, sa maison, changer de pays, perdre un être cher, couper le cordon ombilical...
Tarif A
Zénith de Pau
Durée 1H30
LES SOUVENIRS DE SAM JACKSON MCBRYB
IF YOU KNEW
IF TO LEAVE IS TO REMEMBER
Carolyn Carlson, directrice du Centre Chorégraphique National de Roubaix, a réuni pour ce projet deux chorégraphes qui lui sont chères : Malou Airaudo, complice pendant des années de Pina Bausch, et Caterina Sagna, créatrice au regard sensible et plein d’humour sur la nature humaine. Ensemble, elles créent un programme sur le thème de la mémoire, avec huit danseurs de la Compagnie du ccn de Roubaix.
Dans Les souvenirs de Sam Jackson McBryb de Caterina Sagna, le passé n’existe pas, il est inclus dans le présent. Certains souvenirs, impossibles à oublier, font irruption dans le présent et s’expriment à travers les corps. Le rire se mêle alors à l’absurde, à la mélancolie et à la tendresse.
Les notes de If you knew de Nina Simone donnent un ton nostalgique à la pièce éponyme de Malou Airaudo. Des images et des personnages saisissants, troublants, affleurent à la mémoire. Ils évoluent seuls, se rencontrent, s’éloignent, en quête d’une part perdue d’eux-mêmes.
Carolyn Carlson reprend If to leave is to remember, créé en 2006 au Ballettheater de Munich. Elle évoque la mémoire de la séparation, sa douleur mais aussi son effet bénéfique. Quitter un ami, sa maison, changer de pays, perdre un être cher, couper le cordon ombilical...